Je m’appelle Isabelle, j’ai 21 ans et je suis étudiante en école d’infirmière à Lyon. Cherchant un petit boulot pour financer mes loisirs et ne voulant pas compromettre mes études par un job trop dévoreur de temps, je me renseigne auprès du secrétariat de mon école sur les possibilités qui me sont offertes. La secrétaire, à laquelle je m’adresse m’indique qu’un certains nombres de laboratoires font des offres de services, notamment pour des tests de nouveaux produits, ou de nouveaux médicaments. Cela semble correspondre à mes attentes et je lui demande de m’inscrire sur la liste qu’elle tient à jour des étudiantes infirmières intéressées par ces jobs.
Deux semaines s’écoulent lorsque je reçois un appel téléphonique sur mon portable. Il s’agit d’une responsable des laboratoires Hartmann qui m’indique avoir eu mes coordonnées par l’école. Elle me demande si je suis toujours intéressée par des tests produits, je réponds par l’affirmative. J’ai dans l’idée de lui demander quels produits je vais être amenée à tester mais déjà elle enchaîne en me proposant un rendez-vous. Etonnamment, elle me propose de se retrouver à mon appartement, alors que j’imaginais devoir me rendre dans leurs locaux mais finalement, ne disposant pas de voiture, cela m’arrange. Rendez-vous est pris pour le Mercredi après-midi suivant, n’ayant pas cours à ce moment-là.
A 14H00 précise, on sonne à ma porte. J’ouvre à deux jeunes femmes qui se présentent comme représentes du laboratoire Hartmann et venant de la part de Madame Sudre que j’ai eu au téléphone. La première porte une sacoche en bandoulière, la seconde tire une valise assez volumineuse. Je les fais entrer dans ma pièce à vivre, salon avec cuisine à l’américaine. Comme il s’agit d’un vrai deux pièces, je dispose également d’une chambre séparée ce qui est un luxe pour une étudiante de nos jours, merci mes parents ! Je leur indique le canapé où elles s’assoient pendant que je prendre place dans le fauteuil opposé. Les deux jeunes femmes se présentent par leurs prénoms de façon très décontractées. Il s’agit de Béatrice et Sylvie. Cette dernière sort un ordinateur portable de sa sacoche et l’ouvre en le posant sur la table basse. Sylvie me propose le tutoiement, m’indiquant que Béatrice et elle sont infirmières comme moi. J’accepte et elle enchaîne en me demandant si Madame Sudre m’a indiqué quel produit dans leur gamme je suis sensée testé. A ma réponse négative, les deux femmes se regardent et sourient. Sylvie me dit que c’est assez classique lorsqu’il s’agit des produits de la gamme incontinence, le siège du laboratoire restant volontiers évasif. En fait il s’agit de tester des couches adultes me précise-t-elle. Je suis un peu décontenancée par cette annonce. Sylvie me précise qu’il s’agit de tests de nuit à mon domicile, avec très peu de contraintes horaires et largement rémunérés. Je n’imaginais pas tester de tels produits mais réfléchissant rapidement j’analyse que je vais avoir sans doute le ratio souhaité à savoir un job rémunérateur mais peu dévoreur de temps. J’accepte donc le principe en m’interrogeant cependant sur le choix d’une élève infirmière pour tester des produits plus largement utilisés par les seniors. Béatrice intervient alors pour m’expliquer qu’il s’agit d’une nouvelle gamme dédiée aux femmes actives dans des moments particuliers comme le retour de couches notamment. Sylvie poursuit en m’indiquant que ces tests dureront un mois dans un premier temps, susceptibles d’être prolongés par la suite. La rémunération est effectivement attractive et enlève mes derniers doutes. Sylvie, sur la base des informations confiées par l’école a rédigé un contrat qu’elle me fait signer en double exemplaires. Puis elle sort de sa sacoche un deuxième document comprenant le protocole du test. Naïvement j’imaginais qu’elles allaient me laisser des échantillons que je devrais porter la nuit avant de répondre à un questionnaire sur le produit, en fait pas du tout.
Le protocole de test est beaucoup plus sophistiqué que cela. Béatrice, en charge de cette gamme m’indique qu’elle va prendre mes mensurations et qu’elle va déterminer la taille de couche que je vais porter. Elle se munie d’un mettre ruban et me demande de me mettre debout afin de prendre les mesures que Sylvie va rentrer dans son ordinateur. Elle me demande d’ôter mon pantalon pour que les mesures soient justes. Je m’exécute et me retrouve en culotte pendant que Béatrice mesure mon tour de taille, mon tour de hanches, de cuisses etc… Ceci fait, Béatrice m’indique qu’elle a amené différentes tailles des nouvelles couches qu’elle doit tester pour choisir celle qui sera le plus adaptée à ma morphologie. Elle me demande si on peut passer dans ma chambre pour les essayer. Je réponds par l’affirmative. Je précède Béatrice et Sylvie que je conduis vers ma chambre. Béatrice pose sa large valise au pied de mon lit et l’ouvre, découvrant une grande quantité de couches bien rangées. Je ne suis pas experte en couches, même si j’en ai souvent vues lors de mes stages en hôpitaux pendant mes deux premières années d’école. Béatrice prend une couche et me la montre. Il s’agit d’un modèle entièrement blanc sans marques, ni motifs. Ce modèle me parait relativement épais par rapport aux changes que je vois souvent alignés pliés sur les dessertes dans les hôpitaux. J’en fais la remarque à Béatrice qui m’indique que c’est voulu. Comme il s’agit de couches de nuit, la finesse et la discression ne sont pas des critères discriminant, au contraire m’explique-t-elle, on a fait des couches volontairement épaisses qui ont un côté rassurant pour les utilisatrices occasionnelles de ce type de produit. Elle utilise le terme couche alors que je pensais que l’on parlait plus de changes, ou de protections. Sylvie m’explique effectivement que ces appelations sont destinées à rendre plus acceptable socialement ces produits mais que dans le milieu des labos on parlait plus simplement de couches même si cela a une connotation plus infantile. Par rapport à mes mensurations, Béatrice a fait une selection de trois couches différentes et se propose maintenant de les essayer. Je les aurait bien mises seules mais les deux femmes ne semblent pas vouloir quitter ma chambre. Béatrice me demande de m’allonger sur le lit ce que je fait, toujours en petite culotte. Elle me demande de lever les fesses et glisse une première couche. Elle ajuste sa position avant de la rabattre sur mon ventre et d’en fixer les adhésifs. La couche est assez épaisse effectivement, la sensation est particulière même si j’ai gardé ma culotte en dessous. Les deux femmes observent la couche, me demande de me relever et de faire quelques pas dans le couloir pour vérifier l’ajustement de la couche. Béatrice me demande de me ralonger sur le lit, enlève cette première couche puis en teste deux autres de tailles et de formes légèrement différentes. C’est la deuxième qui semble retenir leur adhésion et Sylvie note la référence du modèle dans son ordinateur resté sur la table du salon. Les tests effectués, je renfile mon pantalon et nous regagnons le salon. Béatrice me demande quand je suis prête à commencer le test. Je lui réponds que je suis disponible immédiatement. Parfait me fait-elle, voilà comment le protocole va se dérouler. A partir de ce soir donc et pour un mois consécutif, je vais porter une couche chaque nuit. Pour la validité du test, une infirmière du laboratoire passera chaque soir me mettre ma couche et chaque matin me l’enlever et la récupérer pour analyse. Je suis particulièrement surprise par cette information imaginant être tout à fait capable de mettre cette couche moi-même. Béatrice enchaîne en m’indiquant que le test s’effectuant sur 12 heures, je serai mise en couche à 19H00 précise chaque soir et la couche enlevée le lendemain matin à 7H00. Je commence seulement à réaliser ce que ce test implique, j’ai une multitude de questions qui me viennent du coup à l’esprit comme le fait de savoir si je vais devoir « utiliser » ces couches et « comment ». Béatrice m’indique que l’infirmière me donnera chaque soir un sédatif léger qui m’empêchera d’être réveillée la nuit en cas d’envie pressante et permettra du coup de simuler parfaitement une incontinence nocturne. Charmante perspective, je vais donc mouiller ma couche sans même m’en rendre compte. Mon entousiasme du début est un peu relativisé par ses propos mais je me raccroche à ce que ce test va me rapporter pour positiver la situation. Béatrice et Sylvie me demandent maintenant si j’ai d’autres questions, elles me laissent leurs cartes de visite respective en me disant qu’elles sont à ma disposition pour toutes questions complémentaires. Béatrice conclu en me disant que l’infirmière sera là ce soir un peu avant 19H00.
Je passe le reste de l’après-midi à travailler mes cours à la maison. Je prends un thé à 17H00 et ne vois pas le temps passé lorsque l’on sonne à ma porte à 18H30. C’est un peu tôt pour être l’infirmière des laboratoires Hartmann. Lorsque j’ouvre la porte, je découvre sur le palier Emilie, une fille de ma promo avec laquelle je travaille de temps en temps mes travaux dirigés. Je suis un peu surprise de la voir, nous n’avions pas rendez-vous. Elle me demande si elle ne me dérange pas, je réponds que non machinalement en la faisant entrée. Je réalise quand même la proximité avec mon rendez-vous de 19H00 et je préviens Emilie que je n’ai pas beaucoup de temps à lui consacrer car j’ai rendez-vous à 19H00. Emilie me sourie et m’explique que c’est avec elle que j’ai rendez-vous. Je ne comprends pas immédiatement le sens de sa phrase mais elle poursuit en m’indiquant qu’elle travaille pour les laboratoires Hartmann pendant ses études car elle a été pré-embauchée en attendant son diplôme en fin d’année. C’est une pratique courante devant la pénurie d’infirmière, j’ai moi-même été sollicitée par des hôpitaux et des cliniques mais sans donner suites pour l’instant. Elle m’explique qu’elle est venue volontairement en avance pour ce premier jour de test. Le doûte n’est plus permis, c’est Emilie qui est missionnée par le laboratoire pour me mettre mes couches. Je dois tirer une tête de mètres de long car Emilie, assise dans le canapé à côté de moi, me pose sa main sur l’avant-bras et me dis que cela se passera très bien et qu’elle est tenue par une stricte confidentialité professionnelle. J’ai du mal à réaliser d’être mise en couche par une collègue de promo.
Pour dédramatiser la situation Emilie m’explique qu’elle travaille depuis l’année dernière pour le laboratoire dans la division produit d’incontinence et qu’elle n’en est pas à son premier test y compris avec, comme moi, des élèves infirmières. Comme je n’en ai jamais entendu parler à l’école, cela me rassure effectivement sur la confidentialité de ces tests sans pour autant enlever ma gêne. Emilie regarde sa montre et m’indique qu’il est temps de commencer. Elle me demande d’aller me mettre en pyjama ou en chemise de nuit pour qu’elle puisse mettre ma couche à 19H00 précise. Elle me demande ensuite où est la salle de bain pour aller se laver les mains. A contrecœur je gagne ma chambre pour aller me déshabiller et me mettre en pyjama. Quelques minutes plus tard Emilie toque à ma porte pour savoir si je suis prête. Je réponds par l’affirmative et elle entre dans ma chambre avec son sac qu’elle pose sur la chaise à côté du lit. Elle l’ouvre et en sort une boîte de gants jetables, une couche comme celle essayée ce matin, un pot de talc. Elle enfile des gants de latex et me demande de m’allonger sur le lit. Une fois allongée, elle retire le bas de mon pyjama, puis dépliant la couche, elle la glisse sous mes fesses. Elle prend ensuite le pot de talc et en saupoudre sur mon pubis avant de refermer la couche et fixer les adhésifs. La manœuvre a été rapide, les gestes d’Emilie étant précis, fruit d’une habitude certaine. On sent bien que ce sont des gestes maîtrisés. C’est lorsqu’elle renfile mon pantalon de pyjama que je réalise que la couche est épaisse car il passe juste. Je me relève du lit maladroitement pas habituée à porter une couche pendant qu’Emilie enlève ses gants et range ses affaires dans son sac. Elle regagne le salon et je la suis dans le bruit léger mais perceptible du plastique froissé de ma couche. Je m’assoie dans le fauteuil en face du canapé où s’est assise Emilie qui me demande mes impressions. Je lui réponds que c’est assez déconcertant comme sensation et assez gênant en ce qui concerne la mobilité. Emilie acquiesce en me rappelant que c'est une couche nuit que l’on ne porte pas par définition en journée. Elle me tend maintenant une gélule. Il s’agit du sédatif évoqué par Béatrice tout à l’heure. Emilie me demande de l’avaler tout de suite en me précisant que l’effet est différé et que la sensation de fatigue n’interviendra que vers 10H00, me permettant d’avoir du temps pour moi en soirée. Ceci fait, Emilie remplit une fiche de suivi dans un carnet qu’elle a sorti de son sac puis range celui-ci. Elle se lève en me disant que son travail est achevé pour ce soir et qu’elle reviendra demain matin à 7H00 pour me retirer la couche. Je suis quelque part soulagée de la voir partir, peu à l’aise d’être en sa présence avec cette couche sur mes fesses dont la forme est bien visible sous mon pantalon de pyjama. Lorsque je referme la porte je prends conscience qu’un mois ainsi cela risque d’être long. Un coup de fil me tire de mes pensées. Il s’agit de Laure, une amie de promo, elle aussi, qui m’appelle en me proposant d’aller au cinéma. L’idée d’ordinaire m’aurait séduite mais pas dans les circonstances présentes. Je décline donc la proposition en me disant que je n’avais pas forcément prise en compte cet aspect d’être ainsi bloquée à la maison à partir de 19H00 le soir, me voyant mal sortir avec une couche à l’extérieur. Je dîne rapidement avant de regarder la télé. A la moitié du film, je commence à avoir sérieusement sommeil et je réalise que le somnifère doit faire son effet. Je coupe la télé et décide de me coucher alors qu’une envie de pipi se fait présente. Je décide de me retenir, préférant faire pendant la nuit sans m’en rendre compte. Je règle mon réveil pour 6H45, histoire d’être réveillée quand Emilie sonnera à ma porte. Ce faisant je me couche et j’éteins la lumière.
Lorsque le réveil sonne le lendemain matin, j’ai un peu de mal à émerger. En tendant le bras pour éteindre le réveil placé sur ma table de chevet, je me rappelle porter une couche que je ressens bien entre mes jambes. Une légère humidité au contact de ma peau ne laisse pas de doute sur le fait que j’ai fait pipi dans ma couche durant mon sommeil. La sensation est étrange, la couche est moins serrée que la veille « victime » des mouvements de la nuit et plus lourde du fait du pipi absorbé assurément. Je prends quelques minutes pour émerger réellement quand déjà on sonne à ma porte. Je vais ouvrir à Emilie, bien réveillée elle, qui me suis pour un retour dans ma chambre. Elle me demande de m’allonger sur le lit et déjà, m’enlève le bas de pyjama découvrant ma couche. Elle prend dans son sac un appareil photo et prends ma couche en photo avant de reposer l’appareil. Elle me demande ensuite comment c’est passé cette première nuit. Je lui réponds que je me suis endormie comme une masse mais en ayant déjà envie de faire pipi et que je venais juste de me réveiller avec la couche mouillée. Emilie sort de son sac un paquet de lingette, des gants et une boite, type Tupperware, qu’elle m’explique destinée à recevoir ma couche pour que celle-ci soit ensuite analysée en laboratoire. Elle enfile les gants puis détache ma couche et me l’enlève pour la mettre dans la boîte. Ceci fait elle prend une lingette et me nettoie l’entrejambe avant de me remettre mon bas de pyjama. J’apprécie sa rapidité et sa sobriété pour ne pas prolonger le moment de honte d’être ainsi nu devant une fille de ma promo. Son travail effectué, Emilie range ses affaires et je la raccompagne jusqu’à la porte. Elle me dit à tout à l’heure car nous devons nous croiser en cours aujourd’hui avant qu’elle ne revienne à la maison ce soir.
Après une bonne douche je pars en cours où je croise Emilie qui me dit bonjour comme si on ne s’était pas vues ce matin. Je suis un peu surprise mais j’apprécie son mode de fonctionnement qui sépare bien notre vie étudiante du test en cours pour le laboratoire. Je suis de retour à la maison en fin d’après-midi et le temps de vaquer à mes occupations il est déjà 18H45, heure à laquelle on sonne à ma porte. C’est, comme prévu Emilie qui est sur mon palier. Je la fais entrer et lui demande si elle veut boire quelque chose. Elle accepte et je nous sers un jus d’orange. Je discute avec Emilie et lui fait part d’une contrainte que je n’avais pas mesuré avec ce test, le fait de devoir rester à la maison tous les soirs. Celle-ci convient qu’il est difficile de sortir en toute discrétion lorsque l’on porte ce type de couches, mais elle m’invite cependant à essayer ce soir les vêtements, et notamment les jupes et robes, que je pourrai porter sans que ma couche ne se voie y compris pour rester à la maison en cas de visite non programmée. L’idée est judicieuse mais déjà il est l’heure de mettre ma couche. Contrairement à hier je ne me mettrais pas tout de suite en pyjama pour justement tester quelques habits. Je précède Emilie dans ma chambre. Elle me demande de m’allonger sur le lit pendant qu’elle prépare son matériel. C’est elle qui enlève mes chaussures et mes chaussettes puis mon pantalon et ma culotte. Elle glisse maintenant la couche sous mes fesses, me talque puis referme ma couche de façon bien ajustée. Ceci fait, je me relève et commence à explorer ma garde- robe pour tester une à une mes jupes et mes robes, faisant une croix sur mes pantalons incapables de masquer la présence d’une telle couche. Emilie me donne son avis à chaque vêtement. J’ai finalement deux jupes et deux robes qui me permettent de masquer efficacement ma couche ce qui est une certaine satisfaction. Je conserve du coup sur moi une jupe longue mais en regagnant le salon je fais remarquer à Emilie que la couche est bruyante et pourrait bien me trahir sur le plan sonore. Emilie en convient mais me conseille d’acheter une ou deux culottes de coton large à mettre par-dessus ce qui devrait résoudre le problème. L’idée est bonne mais comment bien choisir ces culottes sans la présence de la couche pour avoir la taille recherchée. Emilie me conseille de prendre deux tailles différentes et de ramener au magasin celle qui n’ira pas. Cette fille est décidemment pleine de ressources. Je lui propose de rester dîner mais elle m’indique qu’elle doit rejoindre des amis. Je l’envie un peu mais elle accepte par contre de dîner à la maison demain soir. Elle me fait prendre mon somnifère avant de me quitter. Je dîne d’un plateau repas devant ma télé avant d’aller me coucher.
Le lendemain matin, soit j’avais mal réglé mon réveil, soit je ne l’ai pas entendu mais c’est la sonnette de la porte d’entrée qui me réveille. Je me tire péniblement du lit pour aller ouvrir à Emilie. Celle-ci me suis jusqu’à ma chambre où je m’affale sur le lit. Emilie toujours efficace et comprenant que je me réveille juste ne m’assaille pas de questions et prépare son matériel. Après avoir enfilé ses gants, elle me retire mon bas de pyjama et défait ma couche encore largement mouillée. Elle la range dans la boîte prévue à cet effet et me nettoie l’entrejambe avec une lingette. Elle me renfile le bas de pyjama. Le temps du change, j’ai eu le temps de me réveiller plus complètement. Emilie me sourit. Je lui propose de prendre un café mais elle décline gentiment la proposition devant repartir rapidement. Elle me confirme par contre sa présence ce soir pour dîner dans la foulée de son intervention. Elle me demande très poliment si elle doit apporter quelque chose. Je lui réponds que non, que je ferai simple de toutes façon. Elle quitte l’appartement me laissant prendre une douche et me préparer.
Le soir, il est 18H45 quand on sonne à ma porte. Emilie toujours ponctuelle fait son apparition. N’ayant pas eu de cours cet après-midi j’ai eu le temps de préparer un repas simple mais bien cuisiné et surtout d’aller acheter en ville des culottes plus large que ma taille habituelle pour les porter par-dessus ma couche. J’ai choisi des culottes simples en coton blanc assez couvrante et avec de bons élastiques à la taille et aux cuisses pour bien épouser les formes de la couche. Je les montre à Emilie qui valide que le choix lui semble également bon. Elle m’indique que pour la taille, on allait être vite fixées puisqu’elle allait pouvoir m’essayer les deux culottes après m’avoir mis ma couche. Sans plus attendre nous nous dirigeons vers la chambre. Comme hier, je laisse faire Emilie qui me déshabille avant de me mettre ma couche non sans avoir largement talqué mes fesses et mon entrejambe. Elle m’indique surveiller de près tout risque d’irritations. La couche mise, elle essai tour à tour les deux culottes que j’ai acheté. La première est un peu juste mais la seconde est à la bonne taille, elle la laisse donc en place sur ma couche. Je me relève afin qu’Emilie puisse me remettre plus aisément la jupe longue que je porte. Je fais quelques pas dans le couloir et je constate avec plaisir que la culotte amorti bien le bruit de la couche qui n’est quasiment plus perceptible. Emilie confirme puis nous regagnons le salon pour prendre l’apéritif. Ayant un peu plus de temps qu’à l’accoutumé, j’en profite pour faire plus ample connaissance avec Emilie que je connais assez peu finalement. Nous parlons de nos études bien sûr de nos perspectives d’avenir également. Nous discutons aussi du test en cours. Emilie me pose pas mal de questions sur mon ressenti maintenant que je commence à avoir l’habitude de porter ces couches. Je lui réponds et à mon tour je lui demande des précisions sur ces fameuses couches. Elles sont manifestement différentes de celles que je connais. Emilie m’explique que le laboratoire est revenu à des solutions anciennes mais dont on a gommé certains défauts, notamment de remettre des élastiques au niveau des cuisses pour assurer une bonne étanchéité de la couche mais avec une nouvelle génération d’élastiques à fronces douches qui ne marque quasiment pas la peau. Sur ces couches, le laboratoire utilise aussi un matériau absorbant plus épais que les dernières générations de couches car c’est moins cher et comme cela m’avait été expliqué, il y a un effet plus rassurant pour l’utilisatrice. Visuellement la couche inspire plus confiance dans sa capacité d’absorption. Pour illustrer son propos, Emilie va prendre dans son sac une couche identique à celle que je porte afin que je puisse la détailler. Très professionnellement, elle me détaille toute la couche, sa forme également travaillée pour bien épouser les formes du corps. J’écoute ses explications avec attention, n’imaginant pas que c’était un produit aussi « technique ». Le dîner se poursuit agréablement. Seule ombre au tableau, j’ai envie de faire pipi rapidement bien que j’ai pris la précaution de faire en fin d’après-midi. Nous en sommes au dessert et Emilie, perspicace, remarque que je suis un peu préoccupée. Je lui avoue la situation dont elle se doutait. Elle m’indique que je n’ai aucun risque à faire dans ma couche et que celle-ci est prévue pour résister à plus d’un pipi donc pas de crainte pour la nuit à venir. C’est aussi le but du test que de valider les performances de ce produit poursuit-elle. C’est la première fois que je vais faire dans ma couche en en ayant conscience ce qui est assez particulier. Jusqu’à présent je n’avais fait que pendant mon sommeil, profondément endormie. Pour me rassurer Emilie me propose de vérifier l’état de ma couche. Nous retournons dans ma chambre. Je m’allonge sur le lit pendant qu’Emilie retrousse ma jupe et descend ma culotte sur mes chevilles pour vérifier ma couche. Celle-ci a parfaitement absorbé mon pipi et ne présente d’après Emilie aucun risque de fuites. Elle remonte ma culotte et je me redresse. Nous prenons ensuite une tisane. Emilie sur le point de prendre congés me propose, si cela ne me dérange pas, de récupérer une clef de mon appartement afin que je n’aie pas à me lever le matin pour venir lui ouvrir. C’est une idée à laquelle je n’avais pas pensé mais cela me convient très bien, ayant du mal le matin à me « mettre en route ». Je lui confie donc un double de clef et je lui donne donc rendez-vous demain matin comme d’habitude.
Le lendemain matin c’est la douce voix d’Emilie qui me réveille quelques minutes avant l’heure programmé sur mon réveil. Dans un demi-sommeil je m’entends lui répondre bonjour pendant que je sens mon pyjama glisser sur mes jambes enlevé par Emilie. La couche me semble particulièrement lourde et largement mouillée mais pas de fuites apparemment. Déjà Emilie me nettoie à la lingette avant de me remettre mon bas de pyjama. Elle me souhaite une bonne journée et s’éclipse aussi discrètement qu’elle n’est venue.
Je recroise Emilie dans la journée à l’école. Elle me dit bonjour et cette fois si cela ne me surprends pas puis, m’attirant à l’écart, elle m’indique qu’elle a une surprise pour moi ce soir. Elle ne m’en dit pas plus et nous retournons en cours me laissant à la frustration de ne pas savoir qu’elle est cette fameuse surprise. A 18H45, Emilie sonne à ma porte. De nature peu patiente, j’interroge vite Emilie sur la fameuse surprise. Elle me fait lambiner et me dit qu’elle va d’abord me mettre ma couche et qu’elle me fera la surprise ensuite. Nous gagnons ma chambre où j’ai déjà placé sur le lit la culotte large destinée à couvrir ma couche. Je m’allonge pendant qu’Emilie sort de son sac, une couche, du talc et des gants qu’elle enfile. Elle retrousse ma jupe et enlève ma culotte. Elle inspecte mon entrejambe et m’annonce qu’elle va me mettre un peu de crème de façon préventive. Elle sort un tube de crème de son sac et elle me crème le sexe et le haut des cuisses. La crème et froide et me fait un peu frissonner. Elle glisse ensuite la couche sous mes fesses, talc comme à l’accoutumé puis referme ma couche et positionne les adhésifs. Elle attrape maintenant la culotte posée sur le bord du lit et l’enfile pour la positionner sur la couche. Je n’ai plus qu’à me relever et remettre mes chaussures restées au pied du lit. Lorsque nous regagnons le salon Emilie me fait enfin part de la surprise. Elle m’annonce que Béatrice et Sylvie ont décidé de m’inviter ainsi qu’Emilie ce soir à dîner au restaurant. La surprise joue bien son rôle car elle me surprend totalement, je ne m’y attendais pas du tout. Avant même que je ne puisse objecter que je ne peux pas sortir avec une couche sur les fesses, Emilie me devance et me dit que ma couche est indétectable et que c’est l’occasion pour moi ce soir de m’en rendre compte. Elle me précise que nous allons dîner dans un grand restaurant en dehors de Lyon qui de toute façon n’est pas fréquenté par des étudiantes de l’école que nous serions susceptibles de rencontrer. La perspective d’un bon restau est attrayante mais mes craintes restent vives. Emilie me rassure à nouveau et quelques minutes plus tard on sonne à ma porte. Malgré ma jupe longue qui masque ma couche, je laisse le soin à Emilie d’aller ouvrir, il s’agit de Sylvie et Béatrice qui viennent nous chercher. Elles me disent bonsoir et prennent de mes nouvelles depuis notre dernière rencontre. Emilie réponds que pour le test tout se passe bien. Comme pour me rassurer à nouveau, Sylvie et Béatrice, qui savent que je suis en couche me confirment elles-aussi que cela ne se voit pas, ni ne s’entends lorsque je fais quelques pas. Je prends mon sac et nous partons car il y a un peu de route pour rejoindre le restaurant réservé pour 20H00 afin que le repas ne se termine pas trop tard.
Dans la voiture conduite par Sylvie je suis assise à l’arrière en compagnie d’Emilie. Celle-ci me sentant nerveuse me propose de vérifier ma couche pour me rassurer avant d’arriver au restaurant. Sans même attendre ma réponse, elle se penche vers moi, tire sur ma jupe pour la remonter et découvrir ainsi ma couche recouverte par la culotte. Elle vérifie le bon positionnement de la couche et passe son doigt aux niveaux des élastiques des cuisses pour bien s’assurer de leur efficacité. Elle m’informe que la couche n’a pas bougé et que je suis parfaitement protégée. Son inspection terminée, nous arrivons en vue du restaurant. Il s’agit d’une belle bâtisse au milieu des vignes du Beaujolais, très chic. Nous sommes dans les premiers clients du soir ce qui me rassure. On nous installe à une table ronde et je m’assois avec soulagement, étant en partie masquée par la large nappe blanche de la table. Le repas est très bon, nous discutons de plein de choses liées à notre métier, nos études, le laboratoire pour lequel travaillent Sylvie, Béatrice et aussi Emilie. Arrivé au fromage, je suis rattrapée par une envie pressante. Je m’excuse et me lève de table pour aller aux toilettes, Emilie m’annonçant qu’elle m’accompagne. Lorsque nous arrivons aux toilettes, j’explique à Emilie que je n’ai pas osé faire pipi dans ma couche à table ce qu’elle comprend même si elle feints de s’offusquer que je ne fasse pas confiance aux produits Hartmann. Je fais pipi dans ma couche et laisse Emilie en vérifier l’état. Tout va bien me dit-elle avant que nous ne regagnions notre table. Le repas achevé, nous regagnions Lyon où les filles me déposent à mon appartement. Fatiguée, je prends juste le temps de me déshabiller avant de me mettre au lit.
Les jours se succèdent ainsi. Au bout de deux semaines et comme prévu, je reçois un virement de la part du Laboratoire avec la moitié de la rémunération prévu pour le test ce qui me permet quelques folies vestimentaires notamment.
J’attaque maintenant la dernière semaine du test. Emilie, avec laquelle je suis maintenant amie, me demande si je suis partante pour un deuxième test après que celui-ci relayant ainsi me dit-elle une proposition de Béatrice et Sylvie. Je ne m’étais pas préparée à la question mais fort de l’expérience actuelle je pose du coup des questions précises à Emilie sur ce test. Celle-ci m’indique qu’il s’agira de tester cette fois-ci des couches de jour. Cette perspective ne n’enchante pas vraiment, Emilie le comprenant m’indique dans la foulée la rémunération proposée qui est le double de celle que je perçois pour le test actuel. Me voyant hésiter et sachant que je redoute que cela ne se découvre, elle m’indique qu’une autre fille de notre promo réalise en ce moment ce même test. Emilie me propose une sorte de défit : si je suis en mesure de découvrir de qui il s’agit, je peux renoncer au test, sinon je suis candidate à ce test. J’ai une semaine pour cela. Je trouve le défi un peu déséquilibré mais j’accepte finalement.
Dans les jours qui suivent, je scrute le plus discrètement possible le postérieur de chaque fille de la promo à la recherche de la forme d’une couche qui pourrait se dessiner sous leurs vêtements. Je suis particulièrement attentive à celles qui portent régulièrement des jupes en vain. Chaque soir, Emilie me taquine sur mes recherches en sachant que je n’ai le droit que de lui donner un nom à la fin de la semaine. Le dernier soir, Emilie arrive accompagnée de Béatrice et Sylvie. Le test prend fin demain matin. Je suis un peu gênée car les deux femmes accompagnent Emilie dans ma chambre pour assister à ma mise en couche. Une fois celle-ci en place et ma culotte mise, nous revenons au salon. En préambule, Béatrice m’informe qu’elle est très satisfaite du test et me remercie pour ma coopération. Elle m’informe que le deuxième virement a été fait sur mon compte ce matin. Avec un petit sourire elle se dit aussi impatiente de savoir si je vais commencer un nouveau test avec des couches de jour cette fois-ci. Je dois avouer que mes recherches ont été vaines toute la semaine et que je n’ai pas découvert la fille de notre promo portant des couches. Emilie me confirme donc que je n’ai aucune appréhension à avoir pour ce deuxième test. Ce sera elle également qui me suivra pour ce programme. Sylvie à ce moment-là sort un nouveau contrat et le pose sur la table afin que je le signe. Je le parcours dans les grandes lignes car il fait plusieurs pages comme le premier que j’ai déjà signé. Béatrice m’indique qu’Emilie me donnera dès demain le détail du protocole, le test durant lui aussi un mois, week-end compris. Les trois femmes me quittent en me souhaitant une bonne nuit.
Le lendemain matin, nous sommes Samedi, je suis réveillée par Emilie qui se trouve déjà dans ma chambre grâce à la clef de l’appartement dont elle dispose. Guère plus réveillée que les autres jours je la laisse m’enlever la couche de la nuit. Je me redresse cependant pour apercevoir la couche de jour que je vais devoir porter. Elle est de couleur rose pâle mais ne me semble guère moins épaisse que la couche nuit. Déjà Emilie me la glisse sous les fesses, me crème largement le sexe puis me talque avant de refermer la couche. Elle est plus fine que la couche nuit mais la différence n’est pas grande, la culotte ne parait pas trop large d’ailleurs par-dessus la couche, j’espérais quelque chose de plus discret. Emilie m’explique que cette couche est prévue pour n’être changée que deux fois par jour, il faut donc qu’elle puisse absorber deux pipis consécutifs. Emilie poursuit en me disant que c’est le pendant jour de la couche nuit que je viens de tester pendant un mois et que cette couche de jour est très absorbante également pour prévenir toute fuite plus préjudiciable de jour que de nuit. Elle me changera donc le matin, après le déjeuner et le soir. Autant il est facile de prévoir un change à la maison autant je me demande comment Emilie compte faire lorsque nous sommes à l’école, ayant déjà peu de temps pour manger sur place. Celle-ci m’indique que le laboratoire a négocié avec la directrice de l’école d’avoir accès à l’infirmerie pour ce type de test. Décidemment out est minutieusement prévu. Emilie me laisse maintenant m’habiller et me donne rendez-vous à 14H00.
Une fois habillée, je réalise que les sensations de cette couche sont proches de celle de nuit. Je commence à regretter d’avoir accepté ce deuxième test et à part mon jogging, je ne vois aucun pantalon dans lequel je vais pouvoir entrer avec une telle couche. Je ferai bien d’investir dans une ou deux autres jupes longues pour varier mes tenues avant que cela ne se remarque. Malgré le port de ma couche, je sors pour aller faire quelques courses alimentaires que j’aurai volontiers faites plus tôt dans la semaine maintenant que je suis en couche la journée, je m’en veux de ne pas avoir anticipé. Je suis assez stressée, à l’affut du regard des passants sur moi. Force est de constater que sur le trajet ou bien à la superette, personne ne semble remarquer que je porte une couche sous ma jupe. Cela me soulage et je rentre cependant dès mes courses faite à la maison. Je déjeune rapidement. A 14H00, toujours ponctuelle, Emilie sonne à la porte et je vais lui ouvrir. Elle me demande si tout va bien et je réponds par l’affirmative, lui expliquant que j’étais soulagée que personne ne se soit rendu compte de rien pendant ma sortie ce matin. Emilie me demande si j’ai mouillé ma couche et je dois lui répondre par l’affirmative. Elle m’entraine dans la chambre et me fait allonger. Elle retrousse ma jupe, enlève ma culotte pour accéder à cette couche de jour rose. Malgré le large pipi elle est toujours bien en place au contact de mes fesses, couvrant parfaitement mon entrejambe. Emilie la retire, me nettoie puis me remet une couche propre. Elle me replace ma culotte et me déclare parée pour l’après-midi.
Le soir, c’est avec une certaine impatience que j’attends l’arrivée d’Emilie, venant finalement de passer 24 heures non –stop en couches. Elle arrive et me libère de ma couche encore une fois mouillée. Dès qu’elle l’a enlevé je vais aux toilettes ayant fort envie de faire caca depuis le milieu de l’après-midi. Lorsque je reviens dans ma chambre Emilie s’y trouve toujours, ayant sorti une couche nuit de son sac. Je ne comprends pas ce qu’elle fait, étant donné que le test est maintenant terminé. Emilie m’explique qu’il est plus prudent pour moi de porter une couche la nuit pendant quelques jours car je pourrai être, même sans somnifère, victime d’accidents nocturne pendant quelques temps. Je n’avais pas pensé à cela et cela me contrarie un peu. Emilie pour me conforter m’explique que nous verrions bien demain matin si ces craintes sont fondées ou non. A contrecœur je m’allonge à nouveau sur le lit pour qu’Emilie puisse me mettre une couche-nuit. Elle quitte ensuite l’appartement me souhaitant une bonne soirée.
Le lendemain matin, ayant oublié de mettre mon réveil, c’est Emilie qui de sa voix douce me réveille d’un bonjour plusieurs fois répété. Déjà elle me retire mon pantalon de pyjama et ne peut que constater ce que je viens moi-même de réaliser, ma couche est largement mouillée. Devant mon désarroi Emilie se veut rassurante en me disant que c’est le contraire qui aurait été étonnant et que c’est courant lors des fins de tests. Elle retire ma couche et m’invite à aller prendre une douche avant qu’elle ne me mette une couche de jour. Je prends donc une douche rapide puis je suis à nouveau mise en couche par Emilie.
Elle revient comme convenu me changer après le déjeuner puis le soir afin de me remettre une couche nuit, ce qui fait que je suis en couches en permanence. Le lundi matin commence mal avec à nouveau un réveil avec une couche largement mouillée sans même que cela ne m’ait réveillé dans la nuit. Je me douche, passe aux toilettes avant qu’Emilie ne met mette une couche rose de jour. J’appréhende cette première journée en couche à l’école et passe de longues minutes devant ma glace pour m’assurer que ma couche est indétectable sous ma jupe. Emilie petit-déjeuner avec moi avant que nous ne partions ensemble pour l’école. Il est 11 heures lors du dernier cours de la matinée lorsqu’une envie pressante m’oblige à faire pipi dans ma couche. Fort heureusement personne ne se rends compte de rien et la couche absorbe parfaitement mon flux. Je déjeune en compagnie d’Emilie et d’autres élèves puis, après le déjeuner, Emilie m’entraine à sa suite direction l’infirmerie. L’infirmière nous accueille à ma grande gêne et nous fait patienter dans une pièce annexe expliquant à Emilie qu’il y a déjà un change en cours. Moi qui commençais à douter qu’une autre élève teste des couches de jours, me voilà renseignée. Je comprends également par cette réflexion que l’infirmière est parfaitement au courant de la nature de notre visite ce qui me met très mal à l’aise. Quelques minutes plus tard, elle revient nous chercher et nous escorte jusqu’à une salle de soin pourvu d’un lit. Emilie me demande d’enlever mes chaussures et de m’allonger sur le lit. L’infirmière ne quitte pas la pièce et je comprends qu’elle va assister au change de ma couche. Déjà Emilie sort de son sac le nécessaire pour le change. Elle enlève ma culotte puis défait les adhésifs de la couche, découvrant manifestement une couche bien mouillée. Elle retire la couche et me nettoie consciensieusement le sexe. Je ne sais pas si c’est le port répété des couches mais celui-ci est assez sensible et cela m’arrache un petit gémissement qui fait sourire les deux femmes. Une nouvelle couche ne tarde pas à se positionner sous mes fesses et la crème froide est maintient appliqué sur mon sexe pendant que je me pince les lèvres pour ne pas re gémir. La couche est refermée et ajustée, ma culotte remise en place. Je remets maintenant mes chaussures pendant qu’Emilie range ses affaires. L’infirmière me dit à bientôt pendant que nous quittons la pièce. Je reprends le chemin des cours puis je rentre à la maison.
Emilie arrive à l’heure habituelle. Dans la chambre, elle détache ma couche encore mouillée, je n’ai jamais réussi à me retenir une seule fois depuis que j’en porte. Emilie me nettoie et me propose d’aller aux toilettes avant de me mettre par précaution une couche nuit. Lorsque je me rallonge sur le lit elle glisse une couche nuit sous mes fesses et, étonnamment, me demande si je souhaite être désensibilisée avant qu’elle ne referme ma couche. Je ne comprends pas vraiment ce qu’elle veut dire. Elle se penche vers moi et me dit que le gémissement de ce matin ne lui a pas échappé. Elle poursuit en me disant que le port prolongé des couches et leur frottement peu rendre le clitoris particulièrement sensible joignant le geste à la parole, elle pose un doigt sur mon clitoris ce qui m’arrache un gémissement similaire à celui de ce matin. Je suis particulièrement gênée par la situation mais bredouille un oui timide afin de mettre fin à cet échange fort embarrassant. Emilie sort donc un tube de crème dont je ne lis pas le non et en applique une noisette sur mon clitoris. D’abord sensible celui-ci devient effectivement quasiment insensible à la pression des doigts d’Emilie. Ceci fait elle referme ma couche nuit. Emilie m’indique que si mes pipis nocturnes ne cessent pas, le laboratoire fera intervenir une kiné pour des séances de remusculation périnéales. Sur ces propos elle quitte l’appartement.
Les jours se suivent, marqués par le port des couches en journée et la nuit également mais avec une diminution sensible des accidents nocturne dans ma couche. Au bout de 15 jours je ne fais plus pipi qu’une nuit sur deux mais je conserve par précaution une couche de nuit, ce qui fait que je suis en couche permanente. Emilie en plus de la crème pour prévenir les irritations me passe également la crème insensibilisante qui anesthésie complètement mon clitoris. C’est plutôt une bonne chose par rapport au port permanent des couches, j’ai quelques craintes de perdre toute sensibilité à ce niveau mais Emilie m’a assuré que non. Il est temps que le test se termine car mes parents s’annonce pour venir passer un week-end à Lyon juste au moment où je dois porter mes dernières couches. Emilie semble presque déçue que le test prenne fin. Béatrice et Sylvie m’ont bien proposé de poursuivre les tests sur une gamme différentes mais cette fois-ci ma réponse est définitivement négative, déjà fort heureuse que personne n’ai remarqué que j’ai porté des couches. Mon amitié pour Emilie, réciproque, survivra par contre aisément à la fin de notre coopération professionnelle, celle-ci n’ayant pas renoncé d’ailleurs à me voir intégrer les rangs du laboratoire Hartmann.
salut jaimmerai faire les meme teste comment les faire ?
RépondreSupprimermon mail guillaumedu25290@hotmail.fr
De plus en plus de monde porte des couches pour adultes. C'est un gros marché.
RépondreSupprimerLes entreprises investissent beaucoup pour proposer des meilleurs produits.
bonjour à vous moi j'aimerais bien travaillé pour un laboratoire de recherche de couche culotte jour comme nuit les tester même gratuitement je suis militaire mon adresse mail et sacapisse@gmail.com
RépondreSupprimerBonjour je suis intéressée pour travailler pour un laboratoire de recherche, je suis étudiante et cela serait le job idéal pour moi car me permettrait de joindre les deux bouts sans perdre trop de temps pour étudier,
RépondreSupprimervous pouvez me contacter ici : miminetchou@gmail.com
bonjour je suis comme vous je porte des couches pour la journée
RépondreSupprimerBonjour j'adorerais pouvoir faire un test comme ça moi jorai continuer mon adresse mail bebemichael@live.fr
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